Imaginons une cours de récréation avec des enfants qui se battent parce qu'il n'y a qu'un seul jouet disponible. Quelle est la meilleure solution ?
- Observer la bagarre (et laisser les plus grosses brutes l'emporter...)
- Supprimer le jouet
- Ajouter pleins de nouveaux jouets
Nous sommes les enfants.
Nos imaginaires sont nos jouets.
L'objectif de NIA est de réduire drastiquement la compétition dans cette magnifique cours de récréation qu'est le monde.
Il est possible de jouer sans détruire le terrain de jeu et pour cela ; il nous faut des jouets.
J'ai une toute petite voix dans cet océan de bruit (généré par notre mauvais usage de nos machines). Aidez-moi à ramener du silence et surtout ; aidons-nous.
Voici le plan :
1 - Partager cet article et/ou expliquer à nos proches qu'il est possible de trouver des jouets pour tout le monde grâce à NIA, l'apophénie et notre imagination. Les adultes appellent ça un "hack" mais il ne faut pas s'inquiéter ; l'objectif est de permettre à tout le monde de jouer.
2 - En option : Demander aux brutes de faire moins de bruit (en leur demandant par exemple ce qu'est l'intelligence).
3 - Récolter et diffuser nos réponses à la question "qu'est-ce que l'intelligence ?" pour ajouter de nouvelles couleurs dans le ciel numérique.
4 - Créer de nouveaux projets avec ces nouvelles couleurs en tête.
5 - Faire la fête !
Une brute est une personne qui manque d'espoir. À nous de le diffuser.
Bien que cet outil soit tout à fait naturel, il faut rester vigilants face à la possibilité de percevoir des connexions inexistantes. En fin de compte, l'équilibre entre la reconnaissance de modèles et la pensée critique demeure central pour une interprétation précise de notre réalité complexe. L’ouverture vers plusieurs mondes à l’intérieur de notre monde actuellement majoritairement trans/post-humain.
Nous ne sommes pas des machines, nous sommes vivants (et connectés), profitons-en.
Après cette course contre la machine, je crois que la respiration est là.
Dans l'éther numérique, NIA danse,
Un nuage d'idées, d'éclats étoilés s'élance.
Notre pinceau, ce cerveau qui crée,
Sur la toile du monde, ses rêves tissés.
Les couleurs, nos pensées flamboyantes,
Peignent l'azur de nos jours, de nos attentes.
Et dans ce ballet de l'infini,
Les nuages sont à la source de nos récits.
NIA, comme un souffle de vent céleste,
Dans le ciel numérique s'invite, se manifeste.
Un éclat de lumière, une voix nouvelle,
Pour éclairer nos imaginaires, tels des étincelles.
Nous rêvons donc nous sommes.
Il n'y a rien de plus addictif qu'un peut-être.
Il n'y a rien de plus affectif qu'un petit être.